Jean François Minaudant Conseil

28 avril 2008

Flamme olympique



M. Minaudant m’ayant aimablement permis de contribuer à son espace de qualité, je tenterai de vous honorer de ma plus belle plume.
Cette « introduction » me rappelle d’ailleurs un soir d’été sur les bords du Mékong où je découvrais pour la première fois le petit oiseau de mon ami Kwang…enfin je m’égare.

En ces temps de nervosité libérale, de part notre belle mais sale planète, je m’emballais devant l’engouement de tous ces gens qui brandissent haut et fort la flamme de la liberté, dès que l’occasion leur est donnée de quitter les bancs de l’université ou les bureaux de je-ne-sais-quelle-administration.
Il faut effectivement saluer la bronca populaire qui se soulève au passage de l’étincelle olympique et nous rappelle, à JFM et moi-même, nos plus belles heures chez feu nos compagnons les Boulogne-Boys : Arh, que de rigolades et de boutades face à nos amis du Betar Jérusalem, terminant en beauté et en cache-cache dans le Mc Do d’à coté.

Bref, je disais donc vive l’esprit de liberté qui plane autour de ce symbole antique de fraternité et de sportivité, tandis que ces méchants yeux mi-clos tentaient de s’en prendre à notre molosse national et gentleman avéré, le recycleur de pièces jaunes à sa Mémère.
Quelle honte mes enfants, de se voir envahir par ces petits hommes qui, après nous avoir gratifiés de tricots de corps à 3,50, essaient désormais de nous refiler leur surplus de Jackie Chan…comme si nous n’avions pas déjà suffisamment à faire avec les pièces rapportées américaines : cf le sauvetage de Ponant grâce à cette très belle reconstitution de notre ami Steven, Piégés par le cuistot .

Je souhaite également saluer de mon chapeau bas, l’initiative des sportifs de notre glorieuse nation qui, connaissant à l’avance leur douloureux échec l’été prochain, ont choisi de s’illustrer d’une manière digne de ressortissants de la patrie des droits de l’homme en portant haut et fier le badge que voici :


Mais qui se sont totalement plantés dans le message à apporter à ces salauds d’chinois.

Vive le sport, vive la France, vive JFM

Iani Goldman, pour JFM consulting

15 mars 2008

Spleen (two hours) in the Eurostar



La concomitance d’une rencontre avec Maggie Cheung dans la voiture Business Premier de l’Eurostar, la lecture du dernier livre risible de Glucksman père et fils et la découverte de l’existence d’Emmnuel, cinéaste pour classes moyennes intellectuelles à éthique cool-le fils de Pierre Bourdieu-a aiguillonné mon esprit foutraque et voilà Jean François Minaudant Conseil de retour avec ce billet à la diable sur la scène intellectuelle socialiste (redondance superflue, certes).

Je dois tout d’abord vous donner des nouvelles du cabinet. Vous avez noté sans doute avec déplaisir que les écrits sur cet espace d’échange progressiste du Parti ont considérablement diminué ces dernières semaines. A cela, deux raisons.

En premier lieu, la censure sarkonazie nous frappe de plein fouet et nous avons été contraints de proroger puis finalement d’abandonner la publication de plusieurs billets fort virulents contre le Lider Minimo*. En second lieu, JFM Conseil croît rapidement et a embauché 19 nouveaux consultants et associés. François-Romuald Tourliche prend ainsi la tête de JFM Classe et Coquetterie, la division dédiée aux femmes, à la mode et aux people. Jean-Luc Poudrier, quant à lui, est le nouvel associé en charge du développement de JFM Cinéma. Quant à moi, je conserve la tête de la division historique, qui a fait notre renommée : le Conseil en Choses de la Vie.

Dans le cadre de mes activités, je suis désormais amené à me déplacer régulièrement à Londres. En arrivant à St Pancras, je me suis incontestablement dit que cette gare était le lieu-symbole du nomadisme et du multiculturalisme prôné par l’Ultralibéralisme Crasse, plus prosaïquement un lieu de passage incontournable pour cadres moyens besogneux avides de reconnaissance de leur N+2 et aimant voyager, parce que c'est enrichissant. Et ça, je dirais : it stinks because it’s not progressist.

Anyway, j’ai ainsi voyagé aux côtés de Maggie Cheung. Bien qu’habituellement fort à mon aise avec les dames, je dois admettre que je fus fort gauche: mes nerfs fourchicotaient comme jamais. Essayant de prendre un air parfaitement dégagé, je fis tomber à dessein sur ces genoux le Psychologie Magazine qu’avait tenté pour ainsi dire de m’arracher des mains une odieuse harpie Ultrabourgeoise dans le kiosque à journaux du coin. Ce subterfuge avait marché plus d’une fois auparavant pour engager une conversation élevée, qui est une sorte de chemin des dames intellectuel.

Mais là, la belle Maggie, dont les idées ont du génie, se contenta de me le rendre avec grâce et, je le craignis, avec un brin d’inquiétude quant au regard probablement un brin érotique que je lui adressai. La confusion m’ayant emporté, je dus me résigner à d’insipides lectures sur les héritiers dans je ne sais plus quel magazine.
Ces héritiers étaient donc Emmanuel Bourdieu, le fils du pape de la reproduction des Elites Torves et Conservatrices, Pierre Bourdieu naturellement et Raphael Glucksman, le sympathique rejeton de son philosophe de père, dont je venais de lire le livre. Mon esprit paresseux conclut rapidement que ces jeunes gens étaient de bien aimables post-pubères, de vrais hommes de leur temps. Et je me pris à essayer de dessiner les traits de l’Homme Contemporain. Mes rêvasseries me conduisirent alors à l’impensable, l’indicible : Sarkonazi était cet homme contemporain. Un jouisseur, haïssant la critique, n’obéissant qu’à ces caprices, ayant remplacé les humanismes par la cupidité Ultra-Capitaliste et Consumériste, un fasciste de merde, quoi. En un mot, une espèce de Michael Youn de la politique.

Arrivé à ce stade, j’en arrivai à me demander : « mais que nous reste t-il donc ? » Les femmes (blondes à forte poitrine de préférence) mais avec le respect et l’amour bien sur (après tout, nous les hommes sommes des femmes comme les autres), les escapades sac à dos UCPA, Paris…

Il me semblait que cette morosité serait sans fin, quand la belle Maggie engagea la conversation-son approche fut de me dire que je ressemblais à Paul Newman, hummpfff elles me sortent toutes le même baratin. Toujours est-il que je sautai sur l’occasion et une fois arrivé à mon appartement sur elle. Yeah Baby Yeah !
Comme quoi, le spleen, ça ne tient qu’à un fil.

Jean François Minaudant

* Compliments à Silvio Musso Les Nids.

14 janvier 2008

Jean Marie Sarkonazi veut tuer le journalisme socialiste de qualité!



Ce que nous, les Grandes Ames de Gauche (les GAG, comme on dit au Parti), avions prévu, est en train de se réaliser avec l’ultra-fasciste homoncule qui fait office de Président.

Mais tout cela n’est rien. Car son projet culturel va au-delà de ce que notre imagination socialiste peut envisager : il veut détruire le journalisme de gauche !

Comme Louis XIV qui mangeait devant les seigneurs, qui déféquait devant les seigneurs, qui tringlait ses maîtresses devant les seigneurs, le président Tony Montana prend de luxueuses vacances en public, il divorce en public, comme une rock star écervelée ou un tapeur de ballon de droite il s’affiche outrageusement avec sa nouvelle potiche, il se marie en public, il vit devant nous en continu.

Mais ce "nous", ce n’est pas vous, mes fidèles lecteurs. Nous, c’est JFM Conseil, ce sont les journalistes du quotidien de référence, de Libé, des Inrocks et de tous les intellectuels, qui participent par leurs écrits vigoureux au combat contre le sarkonazisme. Quel est son but, sinon changer les journalistes en courtisans avides de gloriole?
Qui ne s’est pas aperçu lors de sa conférence de presse de la semaine dernière, qu’il s’est comporté comme un maître qui raconterait ses exploits à ses boys, sur le ton de fausse connivence du maître pour ses esclaves ?

A JFM Conseil, nous refusons résolument cet odieux état de fait. C’est pourquoi, afin d’introduire le ver dans le fruit, j’ai accepté de présider une commission chargée de régler le problème de l’orthographe à l’école. Quel pied de nez !

La lutte continue !

Jean François Minaudant

20 novembre 2007

En bref : chirurgie esthétique



L'épilation laser de l'arrière-train de Frédéric Beigbeder (mais si, vous savez bien, c'est le raté de la famille) a échoué, comme en atteste cette publicité Ultraconsumériste crasse et si frustrante pour nos fonctionnaires, dont le Pouvoir d'Achat ne cesse de diminuer, depuis que la Droite Ultraréactionnaire et Supramondialiste a repris, avec la fourberie que l'on sait, le Pouvoir en France, l'ancienne patrie des Droits et Acquis Sociaux de l'Homme.


Jean François Minaudant

PS : Et entre nous, il vous plaît à vous ?

05 novembre 2007

Les skateurs progressistes amériKKKains











C’est toujours avec un fol enthousiaste que je vais voir les films mettant en scène des adolescents, car ils sont le terreau du monde de demain-quoiqu’il advienne nous appartient- un monde égalitariste, hygiéniste, précautionneux, ayant supprimé le risque, agnostique et amoral, bref, un monde socialiste. Cette fois, c'était Paranoid Park .

Gus Van Sant a fait des adôs son fonds de commerce ; Elefant avait tracé le chemin, Last Days a dévalé la pente et Paranoid Park confirme la tendance.
Il nous raconte comment un jeune progressiste (anti-Bush) cause la mort d’un agent des services ferroviaires Privatisés (et Ultralibéraux). Avec la force de la métaphysique adolescente (guééé ??) de la planche à roulettes, il nous livre plus que la narration d’un accident, vécu par notre jeune héros : il dévoile l’âme de la jeunesse amérikkkaine antirépublicaine. Son casting d’amateurs, la structure du film et les épates dignes d’un bon clip MTV portent cette ambition et font de ce film une réussite complète.

Anne Souyris (avec qui, je vous dévoile en exclusivité, je vis une romance passionnée) et moi-même vous le certifions : il faut voir le nouveau Gus Van Sant. Et puis Télérama est d’accord, d’abord.

Jean François Minaudant

29 septembre 2007

Rien ne va plus à la télévision publique d'Etat



Après Christine Ockrent, c'est au tour de William Leymergie de lever le masque et de montrer sa vraie personalité de Droite.

L'article du Monde

Le présentateur William Leymergie suspendu d'antenne pendant quinze jours
LEMONDE.FR avec AFP 27.09.07

William Leymergie, l'animateur et producteur de l'émission "Télématin" sur France 2, a été mis a pied pour une durée de quinze jours par la direction de la chaîne, jeudi 27 septembre, après l'altercation qui l'a opposé à Jean-Philippe Viaud, chroniqueur théâtral de l'émission. Celui-ci a affirmé, selon les syndicats, que M. Leymergie a tenté de l'étrangler après l'avoir insulté.

Rappelant "la nécessité d'un respect mutuel dans les rapports professionnels", la chaîne publique a pris sa décision après avoir entendu les deux personnes. La sanction à l'encontre de William Leymergie, qui n'a pas souhaité s'exprimer sur l'affaire, prendra effet le 1er octobre.

Le Syndicat national des régions de télévision (SNRT-CGT), qui affirme que ce n'est pas la première fois que les syndicats se plaignent du comportement de William Leymergie, regrette que la direction ne réagisse pas plus vigoureusement. "Elle considère que William Leymergie, qui ramène plus de 40 % de part de marché, peut être traité différemment d'une autre personne", affirme Luc Deléglise, délégué du SNRT.
Pour le SNJ, "on est passé d'une violence psychologique à une violence physique". "Cela fait des années que l'on dénonce les agressions de William Leymergie à l'égard de ses collaborateurs", déplore le Syndicat national des journalistes, soulignant que beaucoup d'entre eux "ont un statut précaire".
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Voilà bien le comportement de la Droite, la menace, la brutalité! Que le présentateur ait tenu par le passé des propos intolérables, où y a pas de tolérance, je dirais vu la gravité de la situation, passe encore. Mais cette fois, les limites ont été franchies, il s'agit de violence physique sur un intermittent du spectacle !

La sanction retenue contre lui est dérisoire, d'autant que des éléments, que JFM Conseil vous révèle en exclusivité et qui, nous l'espérons, seront versés au dossier, montrent que les tendances du sinistre présentateur de TéléMatin, émission chère à nos mamans, ne datent pas d'hier.

Leymergie a ainsi été vu en compagnie de Vladimir Poutine (à l'arrière plan; on le reconnaît à ses pin's),



de Le Pen (son mauvais goût en matière de cravate le dénonce),

mais surtout en compagnie de Casimir (à sa droite)

Ces amitiés plus que douteuses auraient du mettre la puce à l'oreille des dirigeants de France Télévisions : ils portent incontestablement une part de responsabilité dans la situation actuelle.

Mais dans cette affaire, l'essentiel est de jeter l'opprobre sur le vieux salopard. Et les conclusions de JFM Conseil sont claires : William Leymergie est un fasciste de merde ! un fasciste de merde !!

Jean François Minaudant

03 septembre 2007

La "Reine" Christine perd la tête !



Une brève de Challenges.fr du 03/09/07

Le SNJ s'inquiète de la crédibilité du magazine politique présenté par la compagne du ministre des Affaires étrangères.

Le nouveau magazine politique présenté sur France 3 par Christine Ockrent, compagne du ministre des Affaires étrangères, inquiète le Syndicat national des journalistes. Le SNJ de la chaîne alerte, dans un communiqué publié lundi 3 septembre, sur “la question de la crédibilité de l'information et des équipes rédactionnelles“.

En cause: le fait qu'une conjointe d'un membre imminent de l'actuel gouvernement présente une émission à caractère purement politique. France Télévision a annoncé la semaine dernière que ce nouveau programme, baptisé “Duel sur la 3“ serait diffusé le dimanche à 23h15.

Répercussions sur le contenu de l'émission

Le syndicat précise dans son document qu'il ne met pas en cause "les qualités et les compétences professionnelles" de la présentatrice de l'émission mais estime que la position dans laquelle la conjointe de Bernard Kouchner se trouve "ne peut pas ne pas avoir de répercussions sur le contenu de l'émission".

Retrait de Béatrice Schönberg & Marie Drucker

Le SNJ rappelle, par ailleurs, que deux journalistes de France Télévisions se sont retirées de la programmation pour “les mêmes raisons“, à savoir Béatrice Schönberg et Marie Drucker. La première est l'épouse de Jean-Louis Borloo, actuel ministre de l'Ecologie, du Développement et de l'Aménagement durables, et la seconde la compagne de l'ancien ministre François Baroin.

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L'équipe de JFM Conseil a été profondément choqué par l'intolérable attitude de la "reine" Christine, qui a refusé de quitter l'antenne, alors que son odieux compagnon, l'infâme traître Nanard Kouchner participe au gouvernement, et qui plus est, au gouvernement Ultralibéral et Ultrafasciste de Jean Marie Sarkonazi.

C'est faire bien peu de cas de l'indépendance que les journalistes doivent avoir vis à vis du milieu politique de droite. Imaginons un instant cette situation ubuesque : Christine et son collabo de marlou ministre sont au lit. Comment la journaliste pourra-t-elle conserver son objectivité, après qu'elle ait été honorée par son homme ? Bien évidemment, elle ne le pourra pas. Et ça, je dirai : c'est de la merde! Mélanger comme ça partouze et politique. C'est mieux de faire les choses dans l'ordre!

Pourquoi la Reine Christine sera-t-elle en conflit d'intêrét ? Je vais vous le dire.

Elle le sera car, au fond d'elle-même, elle est de droite, même si elle avait affiché jusqu'il y a peu une sensibilité de gauche, ou de centre gauche, ce qui est un pis aller. Et quand on est de droite, on aime le Pouvoir, l'Argent, les Superprofits, on n'a pas l'indépendance d'esprit des grands scribouillards de Gauche de notre temps, je pense à Edwi Plenel, Jean Marie Colombani, Laurent Joffrin et tous les autres.

Même Béatrice Schönberg et Marie Drucker, les potiches de Borloo et Baroin, ouvertement de droite, l'ont compris. On ne peut pas être journaliste et de droite, c'est impensable, c'est une incongruité d'une crétinerie cosmique, voire interstellaire. Et leur retrait de l'antenne s'imposait.
Mais enfin, France 3 semble vouloir maintenir l'émission de Christine Ockrent. Aussi, notre résistance citoyenne de Gauche sera de la boycotter énergiquement. Sans audience, elle disparaîtra d'elle-même.

Il y a des colères justes et, nous le croyons à JFM Conseil, celle-ci est légitime.

Sus à Christine Ockrent !

Jean François Minaudant

20 août 2007

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Julia Sprouitche, pour JFM Conseil

09 juillet 2007

Notre route est droite gauche mais la pente est rude


Le terrible choc du 6 mai est encore tout récent et c'est le coeur socialiste lourd que je reviens vers vous,mes fidèles lecteurs. J'ai connu une sévère dépression post-traumatique dont je me remets lentement, le cannabis progressiste aidant.

C'est donc un Jean François amoindri, un Jean François qui a perdu une bataille, mais un Jean François qui n'a pas perdu la guerre, qui remet son ouvrage encore une fois sur le métier pour apporter la Bonne Nouvelle de Gauche à ces connards de fascistes de français de merde, à ses ouailles dispersées.
Ce qui importe maintenant, c'est d'entrer en résistance. Et le premier acte symbolique que JFM Conseil a souhaité faire est de déménager ses locaux des Champs Elysées où nous étions installés jusqu'à présent, dans le XVIIIème arrondissement, dernier bastion parisien d'enfants de l'Assistanat et de la Fonction Publique Française, qui seuls peuvent désormais protéger les français de la Barbarie Libérale, qui leur est promise.
La pendaison de crémaillère de nos bureaux a, malgré le climat fanasciste ambiant, été fort joyeuse, comme en témoigne cette photo.



Je portais, comme chacun le voit, un T-Shirt Diester®, une enseigne Alter-mondialiste, Equitable, financé par micro-crédit et fabriquant des vêtements à partir de matières bio (au bifidus actif).
A ma droite, vous avez reconnu Freddy Tricard, l'un de mes plus anciens consultants, présent depuis le début de JFM Conseil. Après cette soirée, j'ai malheureusement reçu sa démission, ce qui m'a particulièrement peiné. Il m'a dit vouloir démissionner plus pour gagner plus, ce qui est incontestablement crasse, alors que j'avais fait de lui qui était jusqu'alors une feignasse de chômeur un excellent consultant de Gauche.

Pour couronner le tout, Mme Minaudant veut divorcer et s'installe avec un banquier.
En un mot comme en cent, c'est la chienlit.

Jean François Minaudant

20 avril 2007

Consigne Ordre de vote



Nous y sommes, nous y voilà. Le moment tant attendu est là, enfin.
La campagne a permis de mettre en exergue le côté obscur de Jean Marie Sarkonazi. Evidemment, il sait haranguer les foules imbéciles de Droite. Mais c'est son odieux métier d'avocat avide d'Argent et de Pouvoir, qui lui a conféré cette capacité.

Parce qu'au fond, le candidat de la Haine Réactionnaire est tel que les Grands Esprits de Gauche l'ont décrit. Oui, ils ont eu raison de citer les grands despotes du passé, Napoléon, De Gaulle, Hitler. Car c'est évidemment un abominable fasciste qui se cache sous les traits grotesques de l'ancien Chef de la Milice Nationale. Et c'est à bon droit que ses affiches ont été taggées. Oui Sarkonazi, c'est la Bête Immonde. Oui, Jean Marie Sarkonazi, c'est la dictature des Oligarches, ce sont les Superprofits du CAC40, ce sont les Superlicenciements, ce sont les réductions d'effectif dans l'Education Nationale, c'est la remise en cause de notre Doux et Protecteur Modèle Social.

A tout cela, nous devons dire : non, non, non mec !

Dimanche, nous les Grandes Ames de Gauche, nous voterons pour la Présidente Ségolène, porteuse du message de Progrès, de Paix, de Fraternité, d'Egalitarisme et de Féminité. Seule une femme pourra offrir aux Français un monde en coton, comme nous l'espérons tous. Et nous nous débarrasserons de l'Ambition de Sarkonazi, qui est d'instaurer une Dictature Libérale Fasciste.

Aux Urnes, citoyens de Gauche ! Les autres, restez chez vous.

Jean François Minaudant

06 mars 2007

Le syndrome Sarkonazi




Etre proche des préoccupations des français, voilà l'un des engagements de JFM Conseil et de la Présidente Ségolène. Et les français aiment le fouteballe. Au Cabinet, nous nous sommes donc penché sur le cas de l'Olympique Lyonnais, qui s'est pris une degelée, une torgnolle, une rouste, quoi, par les berlusconniens de l'AS Rome. Et d'un même élan, nous avons tous été happé par ce sentiment : les lyonnais sont la victime du syndrome Sarkonazi : ils ont des tites bites.

C'est triste.

Jean François Minaudant

02 mars 2007

Il faut pendre Zaki Laïdi ! Vite !



Chronique du Monde du 02.03.2007

Le fait que Ségolène Royal ait récemment insisté sur la nécessité de penser la gauche du XXIe siècle au moment où l'appareil du PS tente de s'impliquer davantage dans sa campagne ne relève pas du hasard. La candidate sait qu'elle ne saurait gagner sans un parti. Mais elle sait aussi que son succès passe par la propagation de son propre message en surimpression du discours d'un PS idéologiquement usé. Mais qu'est-ce au juste qu'une gauche du XXIe siècle ? On peut formuler ici quelques propositions qui pourraient la définir.

La première consiste tout d'abord à dire et redire que le changement social dont parle tant la gauche ne saurait se penser sur le mode du retour à l'équilibre des "trente glorieuses". Ce modèle conciliait stabilité de l'emploi, régulation étatique forte, construction des compromis sociaux dans un cadre purement national. Certes, à l'époque, la gauche dénonçait ce modèle comme un produit du capitalisme monopoliste d'Etat où la bourgeoisie s'abritait derrière l'intérêt général pour défendre ses intérêts de classe. Plus grave encore, elle refusait systématiquement l'appellation de "social-démocrate" qu'elle jugeait infamante par crainte de ce que Léon Blum appelait, après le congrès de Tours, le "qu'en-dira-t-on communiste".

La conséquence de cette logique, où la gauche réformiste a toujours peur d'être qualifiée de capitularde par des gens qui n'assumeront jamais les responsabilités du pouvoir, est simple : elle se croit obligée de tenir sur le monde un discours pessimiste, à ne voir dans ce qui se passe sous nos yeux qu'inégalités et dérèglements sociaux, à n'assigner aux bouleversements en cours qu'un sens négatif et inquiet. Son seul objectif est alors de reconstruire ce qui a été détruit par le libéralisme avec tout ce que cela implique comme conservatisme et nostalgie. Nous avons ainsi aujourd'hui une gauche dont le discours est le plus maximaliste de toute l'Europe dans le pays le moins libéral d'Europe. Or, tant que cette gauche n'aura pas rompu avec cette vision purement pessimiste du changement social, tant qu'elle ne voudra pas montrer qu'il y a dans le monde actuel des potentialités, elle continuera à décevoir ses électeurs car chacun sait que le retour aux "trente glorieuses" n'est ni possible ni souhaitable.

La gauche a besoin de penser le changement social sur le mode de la contingence plutôt que sur celui du déterminisme. Il lui faudrait d'une manière ou d'une autre se libérer de l'héritage de Pierre Bourdieu dans ce qu'il a de plus figé, défensif, et en définitive, conservateur. Dire à haute et intelligible voix que la gauche n'a plus pour horizon politique le retour aux "trente glorieuses" constituerait un acte révolutionnaire et fondateur pour une gauche du XXIe siècle. En disant cela, la gauche ferait enfin son aggiornamento idéologique sans coût politique excessif. Elle romprait avec la tentation conservatrice qui est la sienne depuis maintenant plus d'une décennie.

Le deuxième axe fort d'une gauche du XXIe siècle devrait se construire autour d'une redéfinition du rôle de l'Etat par rapport au marché. Or, là encore, la tâche est titanesque, d'une part, parce que la vénération de l'Etat est très ancrée dans une société qui a rompu avec Dieu pour mieux lui substituer l'Etat. D'autre part, parce que nous appartenons à un pays où l'inculture économique de nos élites politiques et intellectuelles conduit à penser que raisonner économiquement revient à comploter socialement.

Ce faisant, la gauche et l'extrême gauche ont totalement abandonné toute critique sociale de l'Etat face à ce qu'elles considèrent comme la tâche prioritaire : la lutte contre l'ennemi libéral. Or l'Etat est lui aussi un formidable producteur d'inégalités sociales, spatiales et régionales. Si notre système éducatif est devenu si inégal, si nos députés ne comptent que trois personnes issues du monde ouvrier alors qu'ils étaient 100 en 1970, si les inégalités régionales de notre système hospitalier sont si flagrantes, ce n'est pas à cause des dégâts du libéralisme, mais bien parce que l'Etat et les institutions qui émanent de lui sont des producteurs d'inégalités. Le fait que la fonction publique soit devenue une source de reproduction sociale pour les enfants de fonctionnaires et que les enfants d'immigrés en soient largement exclus est un fait accablant.

Une gauche modernisée devrait donc reprendre le chemin de la critique sociale de l'Etat. Cette critique n'est bien évidemment pas contradictoire avec une critique du marché. Mais la critique du marché doit être qualifiée, étayée, précisée et non pas seulement postulée. Croire que le bien public s'identifie mécaniquement à la propriété publique est tout simplement une vieillerie. On peut parfaitement défendre le bien public sans forcément recourir à la propriété publique : un exemple, les transports urbains. Dans toutes les villes de France sauf trois, ces transports sont assurés par des opérateurs privés, liés aux municipalités par des contrats intégrant des obligations de service public. Qui s'en plaint ? Nous savons par ailleurs que l'appel à des ressources privées peut renforcer le bien public. Si les universités étaient plus autonomes, si elles avaient les moyens d'acquérir par elles-mêmes des ressources propres, si les frais d'inscription dans les universités étaient relevés en échange d'un système de prêts étudiants à taux zéro, nous aurions une université plus compétitive et plus égalitaire.

La troisième façon de penser une gauche du XXIe siècle consisterait à toujours penser les mécanismes de redistribution parallèlement aux mécanismes d'incitation. Or sur ce plan la gauche accuse un retard conceptuel phénoménal car, pour elle, la redistribution, c'est l'Etat, et l'incitation, c'est le marché. Il est gravissime que des responsables de gauche continuent à se livrer à une surenchère sur le smic qui a pour inconvénient de freiner l'entrée sur le marché des travailleurs non qualifiés et d'écraser la pyramide des salaires. Croire que plus on redistribue, plus on réduit les inégalités relève d'une vision non seulement dépassée mais erronée.

Enfin, il y a une quatrième façon de penser la gauche du XXIe siècle : c'est celle qui consiste à voir dans la mondialisation non pas simplement une machine à détruire et à uniformiser, mais à enrichir et stimuler. Il faut dire et redire que la mondialisation est avant tout un processus de redistribution de la richesse et de la puissance dans de nouveaux espaces. Elle consacre la fin de la rente de l'Occident sur le monde. Et de cela il est insupportable de voir des forces de gauche s'inquiéter. Il ne faut sur ce point jamais perdre de vue que c'est sur son refus d'accepter la décolonisation que la SFIO s'est fracassée. Et que même si tout n'est pas comparable, il serait grave et inquiétant que la gauche française en vienne à tant craindre d'un changement planétaire qu'elle ne parvient pas à comprendre.

Dans la plupart des pays européens, les forces de gauche portent sur la gauche française un regard navré, celle d'une gauche nationale, repliée sur l'Hexagone et parfaitement indifférente au sort du monde. L'élection présidentielle est la seule élection qui permet à la gauche d'espérer gagner, malgré la faiblesse d'un Parti socialiste impréparé à penser le monde de demain. Ce paradoxe ne s'explique que par la personnalité de son candidat, qui offre l'avantage d'avoir une vision postidéologique du monde.

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L'effroi m'a saisi à la lecture de cette abominablesque analyse de M Laïdi. Ce misérable prof à Sciences Pô s'attaque aux fondements de notre engagement à tous, nous les Intellectuels de Gauche.
Ce traître-parce que ce petit Monsieur se revendique de gauche-attaque notre refus catégorique de la Mondialisation Ultralibérale Crasse; il s'attaque à l'Etat comme puissance protectrice et généreux donateur pour nos pauvres de Gauche, il s'en prend à nos dynasties de fonctionnaires de Gauche.
Quand il dit que, nous les Elites de Gauche, nous n'y connaissons rien à l'économie et à la finance, c'est vrai. Et nous en sommes fiers. Nous, notre Intelligence, c'est celle du Coeur, pas des sous ! Comme le camarade Hollande l'a rappellé, nous n'aimons pas les riches !
Et pour couronner le tout, il nous appelle réactionnaires et conservateurs, nous les Progressistes.
J'ai donc contacté la Kommandantur et la Présidente Ségolène en personne m'a donné son accord explicite : il faut pendre le dissident Laïdi ! Dès aujourd'hui !
Mes consultants ont activé leurs réseaux et c'est une foule déjà nombreuse qui s'est rassemblé à la Bastille, pour assister à la mise à mort de ce salopard de bobo-réac.



Enfin, peut-être qu'on ne fera que brûler ses livres, faudra se débrouiller avec les milices sarkonazies.
J'enjoins tous nos Grands Esprits de Gauche à nous rejoindre ce samedi à 16h. L'heure est grave, chers camarades, un Monde plus beau, plus protecteur, plus confiné, est à portée de main grâce à la Petite Maman du Peuple. Ne laissons pas passer cette chance et faisons le ménage.

Jean François Minaudant

10 février 2007

Attention, Chirac prépare l'avenir !!!



Non content de partir en vrille sur l'Iran nucléarisé, sur le "How To" qui permettra à la France de se redresser, Chirac organise sa succession. Il s'apprête à parachuter le Héron Cendré dans un bastion de la Droite Dure et Réactionnaire, afin de lui assurer un siège à l'Assemblée (chez les alcooliques bretons : évidemment, quand on est réactionnaire, on ne peut finir qu'alcoolique).

Dans son esprit retors et malveillant, Chirac veut donner à Galouzeau une assise populaire, le forcer à parler le "langage de la rue" (dans son esprit de Droite Méprisante, évidemment), en le mettant en réserve de la République, comme, en d'autres temps, d'autres représentants de la Réaction l'avaient déjà fait.

Le bénéfice que la Présidente Ségolène en Paule Ka peut en tirer est tout de même important. Comme nous, le Peuple de Gauche qui pense juste, Chirac haït l'infâme Sarkonazi. Aussi, il n'est pas douteux qu'il fera tout pour lui mettre des bâtons dans les trous. Gageons que Chirac partage notre pressentiment que Ségolène attirera dans son giron accueillant tous les hésitants et emportera la victoire !

Et notre espérance à tous prendra alors forme : l'Eternelle France Socialiste sera libérée du joug de la Droite Fasciste, Ultralibérale et Précarisante (et anti-Pouvoir d'Achat) !

Jean François Minaudant

PS : Et Chirac ira en prison.

28 janvier 2007

Camille Attaque ! (les bourgeois)



Après avoir observé une courte mais reposante trêve hivernale, JFM Conseil reprend ses activités. Je souhaite à vous toutes et tous, chers et assidus lecteurs, une heureuse année progressiste. Puisse 2007 amener au sommet de l'Eternelle France Socialiste la Présidente Ségolène, qui, chaque jour, nous émerveille et renouvelle la classe dirigeante rancie, en faisant de la politique autrement, avec le Peuple Fonctionnaire de Gauche (je vous parlerai bientôt des ateliers-débats que je mène pour la campagne de Ségolène).

En cette fin de semaine, j'ai offert à Mme Minaudant son cadeau de Noël : une soirée sous le signe du rire engagé. Et ce fut une réussite. Au théatre des Blancs Manteaux (métro Hôtel de Ville), nous sommes allé voir la petite Camille Chamoux dans son one-woman show, Camille Attaque.

Camille est une jeune et ravissante trentenaire de gauche, qui n'aime pas les vacances, la plage et les voyages (parce que prendre des vacances, c'est déjà se conformer aux règles du Système Ultralibéral Crasse; enfin, elle ne le dit pas, mais chacun le comprend) . Elle danse le moonwalk (un ami professeur me disait, il y a peu : illustre, Jean François, illustre. Sinon, les jeunes générations anti-CPE ne te comprendront pas. Sage conseil : l'image vaut toujours mieux que les mots.), elle remue les cheveux, elle ne pourrait pas vivre ailleurs qu'à Paris, elle est hypocondriaque (Peut-il en être autrement dans le climat détestable de Précarité imposé par l'Ultralibéralisme de la Droite Haineuse), elle parle au conducteur de métro, qui s'arrête en pleine voie pour raison technique, elle chante "les bourgeois sont assis et le peuple est debout".

En un mot, Camille est une artiste engagée comme on les aime à JFM Conseil, dans la section du Parti du 16ème arrondissement (et du 15ème aussi, me dit-on).

Bisous gazou socialistes, Camille

Jean François Minaudant

PS : Sisi, elle est très très bien.

26 décembre 2006

Les rois mages étaient-ils ultralibéraux ?

















La fête de Noël que, nous, les Grandes Ames de Gauche, avons toujours voulu débarrasser de son infecte acendance judéo-chrétienne, amène JFM Conseil à se pencher sur la couleur politique des Rois Mages.
Melchior, Gaspard et Balthazar, avertis par un ange de l'arrivée sur terre du fils de Dieu (dans l'abjecte propagande néo-testamentaire s'entend) et suivant l'étoile du berger sont arrivés jusque l'enfant Jésus et l'ont couvert des cadeaux les plus précieux de l'époque : l'or, l'encens et la myrrhe. Avec l'oeil moderne et progressiste que doit avoir tout homme et toute femme de Gauche d'aujourd'hui, soucieux des préoccupations des Français, on peut sans se tromper présumer que ces salopards de rois mages étaient riches comme Fréjus. Et qui dit riche, dit pratiques odieuses et inhumaines pour confisquer et accumuler ce Capital.

De plus, alors que Psychologie Magazine de décembre titre sur le "Trop de tout, revenons à l'essentiel", que l'idée de la Décroissance atteint les plus hautes sphères de Pouvoir, que Michael Moore nous prépare un nouveau brûlot sur l'affaissement de la société de consommation (qui ne sera pas piqué des hannetons socialistes), que les SDF sont virés du Canal Saint Martin (il faudrait d'ailleurs le renommer, ça ne va pas du tout), afin que les touristes ultralibéraux ne les voient pas, les rois mages, eux, tout à leurs aises, couvrirent le futur Messie de présents, qui avaient du coûter un max. C'est crasse. Comment voulez-vous que nos Jeunes (Anti-CPE) ne soient pas attirés comme des mouches à merde par les vitrines des Grands Magasins, où s'étalent le luxe dégénéré, l'obscène opulence véhiculés par notre société Occidentale Inhumaine, Mercantile et Précarisante ? Franchement, hein ?

C'est un peu comme si Laurence Parisot, Ernest-Antoine Seillière et Jean Marie Sarkonazi se présentaient à la maternité pour, je ne sais pas moi, offrir un baril de brent, une enveloppe pleine de dollars et 100 grammes de cocaïne, à un nouveau-né, fils de Grand Patron. Reconnaissons que ce serait dégueu.

Ainsi, la vérité est rétablie : oui, les rois mages étaient effectivement Ultra-Libéraux.

Jean François Minaudant

17 novembre 2006

Première étape vers la victoire totale franchie !



Le triomphe est complet et sans partage ! la Présidente Ségolène a surclassé ses deux piteux compétiteurs mâles dominés et portera les couleurs du Progrès l'année prochaine contre la Réaction et le Sarkonazisme.

Les réactions fielleuses n'ont guère tardé. Dès l'annonce du résultat, je reçus-anecdote qui en dit long- un SMS d'un DSKien plein d'amertume : "ces connards de socialo ont du jus de moule dans le cerveau." Et dire que des voix perfides se demandaient si la Petite Maman du Peuple En Chanel était de droite ! Les voilà démasqués les usurpateurs !
Mais n'en parlons plus. L'heure est au rassemblement de toutes les Forces du Bien, autour de notre rayonnante et belle Présidente.

L'avenir s'annonce plein de désirs, de valeurs, de famille retrouvant sa place, de principes, d'ordre juste. L'Eternelle France Socialiste est de retour.

Jean François Minaudant

Elle est pas sophistiquée, ma Ségo ?



















Et Chanel aussi ?



Et intellectuelle, à l'écoute du monde, soucieuse des autres et compatissante (on voit comme elle souffre avec son écharpe Louis Vuitton sur cette belle photographie)



Ah ouais et bonnasse aussi (enfin, elle et moi, on est à peu près de la même fournée, alors je kiffe, c'est autre chose que MAM, la psycho-rigide quand même)

11 novembre 2006

Pourquoi La Maman du Peuple a raison



Après le dernier débat télévisé pour l'investisture du candidat du Progrès, plus personne ne doute que c'est la Présidente Ségolène qui portera les couleurs de la Raison et du Bien, lors des échéances de 2007. Fort de ce constat, les 2 futurs battus, évidemment phallocrates et patriarcaux, se mettent en frais pour tenter de briser la trajectoire victorieuse de notre Maman à tous. Cela a commencé avec les sifflets des amis de DSK, lors du meeting de Bercy et poursuivi par les perfidies de Fabius. C'est dommage d'ailleurs car son positionnement proche de la Besancenoterie est intéressant et porteur d'un grand espoir : un jour, le libéralisme Inhumain, Cupide, Précarisant, Chinetoquisant mordra le tapis. Et ce jour approche. Mais ce n'est pas le propos d'aujourd'hui.

La dernière attaque contre Ségo est la publication d'une vidéo, la montrant en train de stigmatiser des profs de droite infiltrés dans notre excellente Education Nationale, qui s'enrichissent grâce à un des nouveaux tenants du système Ultralibéral Crasse et Boursicoteur (NDLR : Acadomia). Qui peut la blâmer ?

Il est vrai que certains Professeurs-j'en connais- n'hésitent pas à se vendre au Grand Capital, au lieu d'aider nos jeunes (anti-CPE) apprenants socialistes des collèges et lycées. Comment réagir autrement que l'a fait la Présidente ? Il faut dire la vérité aux français.
Le courant ultralibéral de l'Education Nationale doit être éradiqué.
Comme notre Maman le rappelle souvent, il en va de nos "valeurs", de nos "principes" de Gauche.

Il faut parler vrai aux français : la Présidente Ségolène l'a fait.

Mouloud Adjimi, pour JFM Conseil

21 octobre 2006

Chronique TV : Ce Guillaume Durand, quel SSalaud !



Guillaume Durand est un infâme sarkonazi !!!
C'est plein d'espoir que Madame Minaudant et moi avions commencé à regarder cette émission culturelle du Service Public, "Esprits Libres". Las! Dès la première émission, Finkelkraut, militant toujours en croisade de la Réaction, avait profité de cette tribune offerte par un Guillaume Durand complaisant pour professer sa haine de la culture, de la musique et plus généralement des jeunes (anti-CPE) progressistes des banlieues. En un mot, le ton était donné.

Et vendredi, c'éait au tour de Pascal Brückner de lancer ses jérémiades rétrogrades. Le thème portait sur la repentance obsessionnelle de l'Occident. Brückner s'en prenait au mouvement qui pousse, en Europe, les peuples par la voix de leurs dirigeants à s'excuser des crimes qu'ils ont commis dans le passé : les croisades, l'esclavage, les colonisations etc. Pourtant, chacun sait que la Grande Vieille Europe est criminelle et qu'elle ne doit jamais avoir de cesse de s'excuser auprès de nos amis sous-développés (par notre faute !) du tiers-monde.

Mais le pire était encore à venir : au cours du débat, Guillaume, perfidement, s'adressant à M Roy, je ne sais plus son prénom, s'interrogeait sur l'existence de démocraties, dans les pays où l'Islam est la religion dominante.
Et notre imam athée de faire sa vierge, pardon sa voilée effarouchée : "mais mais mais, la Turquie."
Evidemment. Et encore, M Roy n'a cité que la Turquie mais il y en a plein d'autres que nous ne pouvons pas tous citer, ça alourdirait ce billet.

Boycott de Guillaume Durand !!! Résistance !

Jean François Minaudant

10 octobre 2006

Jean François Minaudant Conseil est dans la ligne du Parti !



Dans une chronique héroïque publiée par nos confrères de Marianne, notre Apollon du Parti, le beau Arnaud Montebourg et le néo-Michael Moorien Laurent Fabius dans les colonnes du Monde ont uni leurs forces à JFM Conseil pour combattre le petit SS de l'Intérieur.


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George W. Sarkozy Par Arnaud Montebourg, député de Saône et Loire et président de « Rénover, maintenant »

La rubrique Tribunes de Marianne2007.info ouvre avec ce texte exclusif d'Arnaud Montebourg, pour qui « en annonçant son soutien à la politique de George Bush, le candidat Sarkozy se rallie à la vision d'un monde où les grandes puissances agiraient de manière unilatérale et violente.»

S'il avait été aux responsabilités au moment de cette crise, il y aurait donc sans qu'il soit possible désormais d'en douter des soldats français en train de se faire tuer à Mossoul, à Bagdad, à Bassora.

La France serait co-responsable et comptable de la plus grande faute de politique internationale commise depuis des décennies.
Et, par l'alignement atlantiste de Sarkozy, la France se trouverait être complice des violations des droits de l'homme dont les Etats-Unis sont devenus coutumiers, notamment dans leurs centres de détention, qu'il s'agisse des prisonniers de Guantanamo arrachés aux règles élémentaires de protection posées par le droit international, qu'il s'agisse des ignobles tortures de la prison d'Abu Graib

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http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-821851,0.html

Laurent Fabius : "Ne courons pas après Sarkozy, qui court après Le Pen" LE MONDE 10.10.06 14h40 • Mis à jour le 10.10.06 14h42

- M. Sarkozy sur le fond est un homme ultralibéral crasse et réactionnaire, il est bushiste. Et je crois aussi qu'il a une petite bite, que sa maman ne l'aimait pas et qu'il compense par l'hyperactivité .

- Imaginez-vous encore La Bête Immonde au second tour de la présidentielle face, éventuellement, à un candidat de gauche ?

- Comme dirait le bon sens populaire bien de chez nous vindiou, les gens préfèrent l'original plutôt que la copie. D'autant plus que M. Sarkozy est d'une "inefficacité crasse". Alors, la Bête Immonde, ils l'auront avec Sarkonazi.

Propos recueillis par Raphaëlle Bacqué, Laurent Bazin et Stéphane Paoli

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Ce que toute l'équipe de JFM Conseil est heureuse de constater, c'est que le Parti défend ses valeurs, que nous employons tous les mêmes mots pour le faire et que nous savons qui est l'homme à abattre. Et comme Arnaud l'a dit, heureusement que Sarkonazi n'était pas à la tête des Huns, à la place de Pinochet, de Lénine, euh non de Ceauscescu voilà. Parce que sur qu'il y aurait eu du grabuge.
Merci à Arnaud d'avoir ouvert les yeux aux hésitants et aux jeunes (anti-cpe) surtout. Arnaud, tu es un Monsieur, comme on dit dans mon club de foot.

Jean François Minaudant

09 octobre 2006

Dans Paris : la sinistrose de Romain Duris











Le film de Christophe Honoré nous donne à voir une nouvelle fois Romain Duris dans un rôle de post-adolescent stupide-rôle qu'il remplit à merveille.

Romain Duris a, en effet, une qualité tout à fait estimable (en réalité, ce sont ses personnages, mais on le pressent pour lui-même) : il semble pleinement contemporain de son époque. Est-ce pour cela que ses films sont tous plus mauvais les uns que les autres ? Quoiqu'il en soit, avec "Dans Paris", on s'élève jusqu'à la stratosphère de la connerie chic. Comme me le faisait justement remarquer un esprit taquin à la fin de la séance, c'est un film "très français", ce qui est une litote assez divine (Miterrandienne pardon).

Pouf pouf.

Bref, quitte à aller voir une bouse, attendez ce mercredi et foncez sur Friends With Money, au moins, il y aura des belles filles.

Jean François Minaudant




 
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