Pusher
Ils sont bons, ces traitres de socio-démocrates de Danois. 4 films en 2 mois, c'est une belle performance, reconnaissons-le.
Mads Mikkelsen est encore de la partie et, comme dans Addam's Apple, il se fait mettre sur la gueule par un petit dealer (quoique petit mais costaud) à coups de batte de base-ball: sa tête, semble t-il, le prédispose à de tels traitements.
Pusher, c'est 3 films qui parlent de petites frappes de banlieue (de banlieue brrrr, même pas progressiste cette banlieue-là, contrairement aux nôtres), avec la caméra à l'épaule très réaliste, une couleur bien particulière, mais sans pleurnicheries et avec une certaine jubilation très cinéma, tout en restant au ras du bitume.
Une préférence pour le numéro 3, qui raconte l'histoire de Milo, un caid local fort sympathique, qui, entre 2 shoots, 2 séances chez les junkies anonymes, 1 éviscération, 1 mariage pour sa fille stupide, gère ses affaires de trafiquant de dope, mot qu'il martèle avec son accent de yougoslave à longueur de films.
Le pied, the big foot.
Jean François Minaudant
Ils sont bons, ces traitres de socio-démocrates de Danois. 4 films en 2 mois, c'est une belle performance, reconnaissons-le.
Mads Mikkelsen est encore de la partie et, comme dans Addam's Apple, il se fait mettre sur la gueule par un petit dealer (quoique petit mais costaud) à coups de batte de base-ball: sa tête, semble t-il, le prédispose à de tels traitements.
Pusher, c'est 3 films qui parlent de petites frappes de banlieue (de banlieue brrrr, même pas progressiste cette banlieue-là, contrairement aux nôtres), avec la caméra à l'épaule très réaliste, une couleur bien particulière, mais sans pleurnicheries et avec une certaine jubilation très cinéma, tout en restant au ras du bitume.
Une préférence pour le numéro 3, qui raconte l'histoire de Milo, un caid local fort sympathique, qui, entre 2 shoots, 2 séances chez les junkies anonymes, 1 éviscération, 1 mariage pour sa fille stupide, gère ses affaires de trafiquant de dope, mot qu'il martèle avec son accent de yougoslave à longueur de films.
Le pied, the big foot.
Jean François Minaudant
Posté par Jean François Minaudant Ã
21:21
2 Comments:
Je pourrais être virulant, demonter point par point toutes tes allégations et tes procés d'intentions ridicules sur sarkonazi (trés fin jeu de mot qui ravira les ultragauchistes libertaires dans ton genre et c'est déjà bien...) mais au lieu de cela, je me contenterai de te plaindre. Car jusqu'à la fin de ta vie, tu te battras pour ton monde ridicule, irréel et fantasmé...
J'espére que tu as bien conscience que ta revolte minable ne menera nul part et heureusement. Les impasses communistes ont déjà été explorées. Dommage que cela fut fait aux dépends de millions de vie.
Bonne continuation quand même
By
Anonyme, at 12:43
Ah oui, mais là, M anonyme, on parlait cinoche.
Et vous avez raison sur un point : je continuerai jusqu'à la fin de ma vie à me battre pour un Alter-Monde. Et votre haine me conforte dans mon combat.
Jean François Minaudant
By
Jean François Minaudant, at 01:35
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