Zizouille et le cumul des mandats



Il est difficile d'échapper à la Coupe du Monde de football, ces temps-ci. Le café du commerce du coin de ma rue, que je fréquente assidument ces temps-ci, car une bonne bière est tout de même le meilleur moyen de lutter contre les effets du réchauffement climatique, ne parle que de ça.

JFM Conseil, étant un cabinet fondamentalement proche des Français, ne pouvait manquer d'apporter une note sur cet événement Mondialiste.

Le cas de Zizouille est particulièrement intéressant.
























Zizouille, il nous a tiré des larmes avec ses 2 buts en finale le 12 juillet 1998, il a été le patron, le meilleur du monde, eh ouais !
Nous autres progressistes, pauvres mortels devant Dieu le père du corner et de la roulette, étions béats d'admiration. C'est donc avec joie et espérance que nous l'avons vu reconduit dans ses fonctions en 2002 et en 2006*.

Seulement, c'est là qu'est le hic, en 2002, notre Zizouille, il a joué, passez-moi l'expression, comme une buse et cette année, à peu près, comment dirais-je, comme une sous-merde. Voilà. Gérard**, remets-moi-z-en une autre, steplaît.

Forcément, on en vient à penser que le cumul des mandats dans le temps, ou du nombre de fonctions, non, décidément, c'est pas ça qu'est ça.

Jean François Minaudant

* Ah oui, et puis, c'était un modèle d'intégration aussi, hein ? Bah oui, Gérard !
** Gérard est mon gargotier préféré.